Je suis à la bourre, je déjeunerai au wagon-bar.
Elle sauta sur la brindille qui servait de plateforme pour les voyages vers le nord. Par chance, elle n’eut pas à attendre longtemps, un siamois se présenta bientôt. Elle s’installa dans le creux de la nuque et se paya une pinte de bon sang. Goût vermisseaux. Elle regrettait un peu le monde d’avant et ses saveurs exotiques, comme pâtépoulé, mais remerciait la nature pour ces grosses boules de poils qui leur offrait voyage et couvert.